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L'entreprise idéale ? Là où il y a du "bien être"...





84% des jeunes diplômés voient l’entreprise comme un lieu d’épanouissement personnel.

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Suite de mon étude sur l’entreprise idéale avec une enquête de Deloitte : après les actifs et les parents, passons aux étudiants. Bientôt sur le marché de l’emploi ou déjà à la recherche du job de leurs rêves, quelles sont leurs attentes ? L’enjeu est de taille puisqu’ils formeront les entreprises de demain. Portrait de l’entreprise idéale par la génération Y.




Du bien-être avant tout

La notion de bien-être est désormais au cœur de nos sociétés 

Pour la moitié d’entre eux, l’épanouissement personnel passera d’abord par un job dans une entreprise de taille moyenne, située en centre ville et à moins de 30 minutes de leur domicile. Car leur top priorité reste la même que celle des actifs en général : trouver un équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle. C’est pour cette raison que 90% d’entre eux rêvent d’horaires flexibles dans une entreprise de taille humaine qui fera attention à eux.

Et qu’en est-il du poste idéal ?

Pas question de rester seul dans son bureau et de faire tout le temps la même chose : place aux postes qui permettent de bouger, de toucher à tout et de travailler en équipe. La génération Y veut du mouvement, de l’émulation et de la créativité.

Et lorsqu’ils évoquent la culture d’entreprise idéale on retrouve les mêmes idées :créativité, innovation, esprit mais aussi savoir-faire, qualité de service et satisfaction du client. La recherche du bien-être n’empêche pas d’être engagé dans son travail !

Et l’ambition ne manque pas : nombreux sont ceux qui souhaitent occuper des fonctions stratégiques et ils sont près de la moitié à vouloir devenir Directeur Général ou Financier. Ils privilégient une évolution hiérarchique mais aussi transversale pour pouvoir élargir leurs compétences.

Les valeurs à la hausse

L’entreprise de demain sera à dimension internationale. Les jeunes diplômés son plus ouverts à l’étranger et l’idée que la maîtrise d’autres langues était un atout a fait son chemin : la mobilité internationale est devenue une priorité pour les jeunes diplômés, surtout en ces temps de crise où ils se verraient bien tenter leur chance ailleurs.

Autre aspect en passe de devenir indispensable : la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Mécénat de compétences, humanitaire, investissements responsables, commerce équitable… Autant de mesures valorisantes pour des jeunes qui cherchent à donner un sens à leur travail.

Et sur France 5 Emploi, apprenez ce que les entreprises attendent des jeunes diplômés. et lisez l'intégralité de cet article. 

Et bien être, c'est bon pour l'entreprise aussi... 

La réussite d'une entreprise ne se réduit pas à son résultat financier. Pour durer dans le temps, l'entreprise et ses dirigeants doivent être capable de mobiliser et d'impliquer leurs salariés autour du projet d'entreprise. Mais tous les dirigeants et managers le savent : motiver ses collaborateurs est une tâche complexe. Considération, délégation, système de rémunération, avantages sociaux, conditions de travail... Lisez ce dossier très intéressant publié dans chef d'entreprise.com



Le sel de la vie ou dans la vie ? Parce que trop de sel, ça craint...



Nous consommons 8,6g par jour alors qu'il n'en faudrait, au maximum que 6g. 
Manger moins salé réduit significativement le risque de développer un cancer de l'estomac. Cette recommandation émane directement du Fonds mondial de recherche contre le cancer (FMRC), qui prône vivement de limiter la consommation d'aliments très salés, comme la charcuterie, le pain ou encore les céréales du petit déjeuner. Un conseil qui en vaut plusieurs puisque l'on savait déjà qu'un excédent de sel était mauvais pour la tension artérielle et pouvait entraîner une maladie cardiaque ou un AVC.
Le FMRC estime que, sur les 6 000 cas de cancer de l'estomac qui se déclarent chaque année au Royaume-Uni, 800 (soit 14 %) pourraient être évités en réduisant la consommation de sel à six grammes par jour. Mais le Fonds juge que chaque personne en ingère plutôt 8,6 g par jour. 
Pour aider les consommateurs dans leurs choix alimentaires, le FMRC souhaiterait que les emballages des aliments soient plus explicites et signalent très clairement la teneur en sel des produits. Car ce n'est pas seulement le sel que l'on ajoute pour assaisonner un plat qui est en cause, mais aussi celui qui est naturellement présent dans les aliments.... 
Click here to find out more!Article de  Lu dans le Point.fr